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jacques cauda
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2 avril 2017

Surfiguration

La RATP proposait hier aux voyageurs pour le 1er avril quelques jeux avec les mots comme "Prenez une BASTILLE si vous avez mal à la gorge", etc... Je leur propose aujourd'hui une rigolade permanente (Cf. Jacques Demy, les Demoiselles de Rochefort pour le jeu sur "perm' à Nantes"...) avec une page quotidienne de Comilédie. Moteur:

L’histoire se passe du temps du temps qui pour trois purins se donne comme binaire, du même temps quand on hérétique et dit-on Élohim c’est lui : Y H W H. Du temps d’aujourd’hui, chère Irma : glandes paganas, roploplots du plateau, T.C. du rondin, roberts mandarines ; y’avait pas moyen de tanger ! Que faire eût syndiqué Lénine, son rot ? Son rotisson nourrisson rassasié après tététélé ? Son ritoutouille processé des décharges joyeuses ? Son zapping glissant et’inabousant ? Ah, peine perdue dix de retrouvées ! Notre héros restait bouche bélier dans le pacage ! PIS ! Il gluait dans l’informe, il placentait des pieds dans le caillot, il s’y môlait en son for extérieur et chaque jour davantage ! Il dépairissait du Sosisson pour nichon mué sans organe distinct et sans espoir de repos, car la nuit ça entourbait de plus belle, la vache ! Des nibards à gogo, du tétin vidéo, du tétin merdopot. Ça füsslait de partout. Fécal plus, enfertrois, lait dit bouygues, purgeadeux et jusqu’au plus gratiné Institut du Nibard Audiovisuel. Il n’y avait plus de réveil ! Notre héros quéquêtait jusqu’aux comités des lèvres une disparition odorante, un effacement gazeux. Il aspurinait à la mise à mort du lit, et que son corps en tombit ! Il tomba. En deux temps : un temps PEC dans un pin éclaté et dedans cette fissure, l’enveloppe d’un autre à l’allure du temps TUS, qui exhalait des gémissements aussi pressés que les battements d’une roue au sortir du jus. Ce fut un tournant. Halerté, kristique, chorial. Il descendit invinciblement la couverture àmolly depuis les les gévomisssements qu’il expulsait à vous laisser pendre si près de son orbite, par une petite veine quasi radice que mam’elle lutt’alors dans le cu et foin des villosités, des vibromômes et des uterriens enfouis dans le même des cousus et à même le gruau dépacté. Et comme le petit ramoneur dont la vie est toujours belle, il dansait, il chantait, et il chiait sur la parquet ciré . Comme ça ! Pour faire un trou dans la vie ! Ah, cher bordel philosophique, vous imaginiez peut-être, qu’il allait môlasser sans retenue et spéculer sur la servitudes de vos x fois trois trous renversés dans un masque d’oiseau. Non ! Et pourtant il n’y eut pas d’amélioration ! Ça allait plutôt de môle en PIS, à la façon Vico, mais sans véritablement répéter une spirale régulière et…

Comilédie de Jacques Cauda © Éditions Tinbad

paulette

Une lectrice qui n'a pas encore lu Comilédie © Cauda

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